L'équilibre émotionnel
Ce qui nous perturbe, que l'on n'exprime pas verbalement, s'imprime dans nos cellules. La maladie est un mécanisme de survie, qui peut être une solution biologique nécessaire à notre santé.
Souvenez-vous que quel que soit le malaise ou la maladie que vous vivez, il y a toujours une cause qui lui a donné naissance, elle peut être autant d'ordre physique que psychosomatique.
La cause est physique lorsqu'il y a abus ou manque, on peut abuser de soleil ou d'alcool par exemple, on peut aussi manquer de sommeil ou de vitamines ou encore de sels minéraux. Mais quand la maladie ou le malaise survient sans qu'il y ait une cause physique, il est alors intéressant de chercher du coté psychique et plus précisément sur le plan émotionnel.
Lorsque l'on ressent des douleurs, que notre corps nous fait souffrir ou encore qu'une maladie ou un mal-être s'installe, c'est que ce corps s'exprime et tente d'être entendu. En étant à son écoute, en décodant les messages qu'il nous envoie, on pourra identifier les émotions et les sentiments négatifs qui sont cachés derrière ces dysfonctionnements.
Les émotions négatives, les conflits intérieurs non réglés ou encore ce qui a été refoulé, tu ou nié ont une action déstabilisante sur notre santé.
La douleur, la maladie ou le mal-être sont considérés comme des signes avant-coureurs de la rupture de l'harmonie dans notre corps. Faire disparaître ce signal sans en chercher la cause correspondante revient à faire taire l'alarme d'un détecteur de fumée, sans se préoccuper du foyer qui l'a déclenché.
Toutes les émotions sont nécessaires. Chacune d’elles nous apporte des informations précieuses sur nous-mêmes. Il est donc important d’être attentif à ce que nous ressentons. Nous examiner sur le plan émotionnel est une tâche essentielle si nous voulons atteindre un équilibre et savourer notre bien-être.
Il n’est cependant pas facile d’être attentif et de déchiffrer ce qui nous arrive, surtout quand nous nous trouvons dans des situations émotionnellement difficiles et douloureuses. Celles au cours desquelles la souffrance et la peur apparaissent, tels des monstres qui veulent nous avaler.
Que faire de ce que l’on éprouve et qui est littéralement éprouvant, de nos émotions qui parfois nous submergent ?
L'équilibre émotionnel est un état fragile qui oscille sans cesse sur le fil des émotions. C'est une quête essentielle tant l'équilibre psychique forge notre identité et nos valeurs, nourrit notre énergie et renforce notre mental.
Cet équilibre peut se retrouver plus facilement grâce à des techniques spécifiques.
La relaxation
Pourquoi la relaxation ?
Pour la simple et bonne raison que la relaxation fait du bien au corps comme à l’esprit! En fait, elle permet de faire le vide mental et atteindre un état d’esprit où les pensées négatives ne viennent pas troubler le moment présent. C’est en quelque sorte une période de “lâcher-prise” de tous les maux afin de décrocher du train-train quotidien le temps d’un instant.
La relaxation est une excellente pratique pour réduire les diverses tensions du corps, mais également pour offrir un certain équilibre psychologique et psychique. La relaxation permet de diminuer le stress ainsi que le vivre différemment, améliorer le tempérament au quotidien, diminuer les douleurs musculaires et les maux de tête, renforcer la concentration, contribuer à un meilleur sommeil, réduire l’état de fatigue, mais également à apprendre à être à l’écoute de son corps.
La relaxation permet de diminuer le stress ainsi que le vivre différemment, améliorer le tempérament au quotidien, diminuer les douleurs musculaires et les maux de tête, renforcer la concentration, contribuer à un meilleur sommeil, réduire l'état de fatigue, mais également à apprendre à être à l'écoute de son corps.
La Méthode du Dr Vittoz
Qu'est-ce que c'est ?
La méthode Vittoz est une thérapie psychosensorielle qui s'appuie sur la théorie du contrôle cérébral. Selon Roger Vittoz, un dysfonctionnement du contrôle cérébral serait à l’origine de l’apparition de maladies nerveuses ou neurasthénies. Cette méthode délivre un grand nombre d'exercices simples visant à réapprendre à s'écouter, à ressentir, à penser afin de se libérer de conditionnements néfastes.
Les bienfaits de la méthode Vittoz
La méthode Vittoz est recommandée en cas de :
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Insomnie : selon Vittoz, l'insomnie est causée par un contrôle cérébral insuffisant provoquant des idées parasites, des phobies, une hypersensibilité auditive qui vont être à l'origine de troubles du sommeil. Les exercices vont consister à éliminer les causes de l’insomnie grâce à des exercices spécifiques.
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Stress : à travers la relaxation et la mise au repos du corps, la méthode Vittoz permet de diminuer le stress.
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Trouble de la concentration et trouble de l’attention : les exercices visant à augmenter la réceptivité vont permettre de diminuer la dispersion et d'affiner la concentration.
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Dépression : les idées noires peuvent être diminuées grâce à cette méthode.
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Angoisse : les exercices de la méthode Vittoz vont apaiser le patient et diminuer son angoisse.
La méthode Vittoz propose tout d’abord de faire des exercices visant à rétablir le contrôle des actes en se basant sur le contrôle de la marche et le contrôle des sens.
Une fois que le contrôle des actes est rétabli, Vittoz propose d’autres exercices visant à rétablir le contrôle des idées. Ces exercices sont basés sur la concentration et la volonté :
- La concentration : En premier lieu, le thérapeute peut demander au patient de suivre mentalement une courbe, de garder en mémoire la sensation perçue lorsqu'il touche un objet ou encore de suivre un pendule en prononçant mentalement le tic-tac. Ces exercices pourront être pratiqués dans le silence tout d'abord, puis dans le bruit afin d'accroître la difficulté de l’exercice et ainsi, d'acquérir une concentration optimale. Une fois ces exercices réussis, le thérapeute va apprendre au patient à se concentrer sur une idée. Pour cela, le patient devra par exemple développer mentalement une idée mentalement ou écouter un texte audio sans se laisser distraire par ses pensées parasites.
- La volonté : L’individu va devoir effectuer un acte donné et prendre pleinement conscience qu’il a été réalisé grâce à sa volonté. Au fur et à mesure, le thérapeute va demander au patient d’effectuer le même exercice, mais en complexifiant l’acte. Ces exercices vont permettre d’accentuer la maîtrise de soi de l’individu.
La respiration consciente
Respirer de manière consciente est une forme de méditation qui permet de se relaxer en profondeur. Comment la pratiquer correctement ? Quelles sont ses vertus ? On vous dit tout.
La respiration consciente est, comme son nom l’indique, une pratique qui consiste à se concentrer pleinement sur sa respiration. Être en état de pleine conscience permet de focaliser son attention sur le moment présent, de manière calme et lucide.
Il faut savoir que la respiration est un processus biologique automatique que l’on peut contrôler. Le faire de façon totalement consciente aide à la gérer au mieux et à renforcer le lien entre le corps et l’esprit.
Comment respirer en pleine conscience ?
Pour respirer de manière consciente, il suffit de se concentrer autant que possible sur le simple fait de respirer. Pour ce faire, vous pouvez inspirer par le nez, expirer par la bouche et :
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percevoir l’air qui entre par vos narines;
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sentir vos poumons se gonfler lentement ;
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remarquer l’air qui sort de votre bouche.
Le tout est de répéter, de manière continue et consciente, les inspirations et les expirations. Pour vous aider, vous pouvez compter dans votre tête au moment d’inspirer puis d’expirer. Cela vous poussera à prendre votre temps tout en suivant un rythme régulier.
Si l’esprit perd sa concentration, c’est normal. Il ne faut pas arrêter la pratique pour autant. L’important est de prendre note de la distraction puis de se focaliser à nouveau sur la respiration.
Quelles sont les vertus de la respiration consciente ?
Respirer de façon consciente présente plusieurs bienfaits pour le corps et pour l’esprit :
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réduction de la tension artérielle;
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amélioration de la mémoire et de l’attention ;
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diminution du stress et des angoisses;
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contribution à un meilleur sommeil;
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augmentation de la sensation de détente et de tranquillité.
De manière globale, la respiration consciente est un excellent moyen de s’octroyer quelques minutes de relâchement au quotidien.
Le Training Autogène de Schultz
Comment vous détendre quand le stress vous paralyse ? Le training autogène de Schultz est une des solutions. Cette méthode d'auto hypnose vous aide à vous relaxer n’importe où, n’importe quand et en quelques minutes, avec un seul outil…la force de votre mental !
Insomnie et dépression, agenda trop chargé, émotions trop envahissantes et difficiles à gérer… Le stress vous épuise et vous ne savez plus où donner de la tête. Stop ! Il est temps de gérer votre stress… Mais pas n’importe comment. Le training autogène de Schultz, vous connaissez ?
Le training autogène de Schultz , qu'est-ce que c'est ?
Qu'est-ce que c'est ?
Johannes Schultz, éminent psychiatre du début du 20e siècle, a mis au point une méthode inspirée de l’auto-hypnose dans le but de soigner les vétérans de la Grande Guerre, très affectés psychologiquement et physiquement. Aujourd’hui, cette technique dont s’est beaucoup inspiré la sophrologie, est un excellent moyen de lutter contre le stress et agir sur les symptômes qui l’accompagnent, quel que soit l’endroit où l’on se trouve.
Training autogène veut dire « entraînement par soi-même ». Et c’est bien vous-même qui allez développer des capacités d’introspection et de concentration, pour obtenir une déconnexion générale de votre organisme et accéder à une relaxation profonde. Mais l’originalité, c’est que cela se fera sans l’aide d’un thérapeute à vos côtés, une fois que vous aurez acquis les bases de cette étonnante méthode.
Imaginez que, dans quinze minutes, vous passiez un entretien d’embauche. Vous tremblez, vos mains sont moites, votre rythme cardiaque s’accélère… Eh bien, grâce au training autogène, ces symptômes disparaissent en un rien de temps et vous arrivez à votre rendez-vous calme, reposé, serein et parfaitement concentré.
Training autogène de Schultz : appliquer la méthode
Cette méthode de réelle détente musculaire et psychique comprend en fait deux cycles :
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Le cycle supérieur suppose la parfaite maîtrise du cycle inférieur et ne peut être réservé qu’à des pratiquants déjà bien rodés.
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Le cycle inférieur correspond à l’apprentissage lui-même du training autogène de Schultz, par concentration sur les sensations corporelles.
La méthode se décompose en plusieurs phases, durant lesquelles vous allez apprendre à :
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ressentir des sensations de chaleur, de pesanteur, de lourdeur, sur les zones de contact des différentes parties du corps.
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visualiser votre respiration en la laissant aller et venir sans pour autant intervenir. Il faudra juste l’observer et apprécier le mouvement de l’air dans vos poumons, votre ventre et la totalité de votre corps.
Il vous est conseillé de formuler mentalement des phrases suggestives au fur et à mesure de vos exercices en les répétant jusqu’à ce que vous atteigniez le but que vous vous êtes fixé. Par exemple : « je ressens une grande chaleur dans tout mon corps… », ou « mon cœur bat à un rythme lent et régulier… », ou encore « ma respiration est apaisée. Je suis en parfaite relaxation". Avec de l’entrainement, vous arriverez à évacuer toutes vos pensées négatives. Néanmoins, même si celles-ci reviennent au cours de l’exercice, ne luttez pas, laissez-les venir sans culpabiliser, elles disparaîtront peu à peu.
À la fin de votre exercice qui peut durer plusieurs minutes, vous allez ouvrir vos yeux, abandonner la pesanteur dans laquelle vous vous trouviez, revenir à la « réalité », respirer profondément et vous reconnecter doucement avec le monde qui vous entoure.
Ainsi, vous allez atteindre une véritable détente musculaire et chasser votre stress. Plus vos muscles seront relâchés, plus vous serez en paix avec votre organisme et votre mental.
Il est important, au début de la pratique, de choisir un moment de votre journée où vous êtes en forme et où vous ne ressentez pas d’émotions trop douloureuses, afin de tirer le meilleur de votre relaxation.
En outre, pour que la méthode soit efficace, choisissez un créneau favorable dans votre emploi du temps et tenez-vous-y : le matin au réveil, à l’heure du déjeuner ou le soir après votre travail, peu importe. Le tout est d’être régulier pour que ce moment de détente devienne un véritable réflexe dans votre vie quotidienne, tout comme vous brosser les dents ou boire votre café.
Les effets du training autogène de Schultz
Points positifs
On ne peut que faire l’éloge du training autogène tant les bénéfices sont nombreux. Non seulement vous retrouvez une bonne hygiène de sommeil, mais aussi vous agissez sur votre anxiété, vos douleurs musculaires ainsi que les troubles de vos organes abdominaux et de votre système vasculaire. On parle aussi d’améliorations dans les affections cardiaques et dans les dysfonctions respiratoires. Enfin, le training autogène est conseillé pour stopper une dépendance au tabac ou à l’alcool.
Mais la raison d’être de cette méthode, c’est la détente mentale qu’elle vous procure, vous permettant d’atteindre une détente musculaire inégalable.
De plus, le training autogène peut se pratiquer n’importe où, n’importe quand, dès que vous en ressentez le besoin. Enfin, le training autogène de Schultz est basé sur des preuves scientifiques et il est largement utilisé de nos jours par de nombreux praticiens, qu’ils soient psychothérapeutes, sophrologues ou spécialistes de la relaxation. Ce qui est un gage d’efficacité et de sérieux incontestables.
À noter que, savoir se relaxer, quelle que soit la méthode que vous choisissez, c’est améliorer la qualité de votre repos et de votre récupération, c’est développer vos performances dans l’action et c’est préserver votre santé.
Points négatifs :
Nous ne sommes pas tous égaux face au « lâcher-prise ». Quand certaines personnes sont réceptives à l’auto-hypnose, d’autres ont plus de mal à s’abandonner. Il faudra alors peut-être plus de temps à ces dernières pour acquérir un niveau de détente satisfaisant.
De plus, même si la méthode de Schultz semble facile à pratiquer, elle demande une scrupuleuse régularité. Ce qui pourrait être un motif d’abandon.
Enfin, le training autogène ne se suffit pas à lui-même quand les symptômes d’un stress chronique deviennent trop persistants et qu’une prise en charge globale de l’anxiété est nécessaire.
La libération émotionnelle
Ce qui nous perturbe, que l'on n'exprime pas verbalement, s'imprime dans nos cellules. La maladie est un mécanisme de survie, qui peut être une solution biologique nécessaire à notre santé.
Souvenez-vous que quel que soit le malaise ou la maladie que vous vivez, il y a toujours une cause qui lui a donné naissance, elle peut être autant d'ordre physique que psychosomatique.
La cause est physique lorsqu'il y a abus ou manque, on peut abuser de soleil ou d'alcool par exemple, on peut aussi manquer de sommeil ou de vitamines ou encore de sels minéraux. Mais quand la maladie ou le malaise survient sans qu'il y ait une cause physique, il est alors intéressant de chercher du coté psychique et plus précisément sur le plan émotionnel.
Lorsque l'on ressent des douleurs, que notre corps nous fait souffrir ou encore qu'une maladie ou un mal-être s'installe, c'est que ce corps s'exprime et tente d'être entendu. En étant à son écoute, en décodant les messages qu'il nous envoie, on pourra identifier les émotions et les sentiments négatifs qui sont cachés derrière ces dysfonctionnements.
Les émotions négatives, les conflits intérieurs non réglés ou encore ce qui a été refoulé, tu ou nié ont une action déstabilisante sur notre santé.
La douleur, la maladie ou le mal-être sont considérés comme des signes avant-coureurs de la rupture de l'harmonie dans notre corps. Faire disparaître ce signal sans en chercher la cause correspondante revient à faire taire l'alarme d'un détecteur de fumée, sans se préoccuper du foyer qui l'a déclenché.
La libération émotionnelle est une discipline psycho-corporelle complète et ludique. Elle permet d'apprendre à lâcher-prise, cultiver sa joie de vivre et adopter une attitude positive envers les événements de la vie.
Comprendre le stress
Vous souvenez-vous de la dernière fois où vous étiez stressé ? Comment saviez-vous que c’était du stress? Vous souvenez-vous de ce que vous ressentiez ?
Lorsque vous êtes pressés mais que vous devez attendre dans la file à l’épicerie, c’est comme si le temps s’éternisait, n’est-ce pas? Vous observez alors les moindres faits et gestes de la personne devant vous et vous sentez que tout l’univers conspire contre vous pour que vous arriviez en retard à la maison pour le souper. Peut-être avez-vous ressenti le besoin de hurler mais vous n’avez laissé s’échapper qu’un énorme soupir ?
Une fois à la maison, votre enfant vous pose l’éternelle question : qu’est-ce qu’on mange ? Et là, vous explosez et criez tout en étant très surpris de votre colère.
Cette colère n’est probablement pas dirigée vers votre enfant mais la situation permet de relâcher la pression accumulée à l’épicerie.
Pourquoi ?
Le stress généré dans la file d’attente entraîne une réaction sur notre cerveau similaire à celle que nos ancêtres aurait pu ressentir lors d’une chasse au mammouth. En fait, cette situation a certainement déclenché une réponse au stress. Le but de cette réponse est de mobiliser de l’énergie. Votre corps mobilise l’énergie en prenant l’énergie contenue dans les sucres et en l’envoyant là où l’organisme en a besoin.
Ex.: Lorsque vous vous apprêtez à soulever une grosse boîte, vous faites comme un culturiste qui s’apprête à soulever des poids : vous inspirez profondément, puis retenez votre souffle pour augmenter votre force. La mobilisation d’énergie ressemble beaucoup à cela.
Comment ?
La mobilisation d’énergie c’est la façon qu’a trouvé notre corps pour se préparer à se défendre lors des situations stressantes. Revenons dans le temps de l’homme des cavernes. Imaginez que vous vous prépariez à une chasse au mammouth.
Le mammouth arrive ! Votre système de réponse au stress se prépare à combattre et chasser le mammouth ou bien votre système de réponse au stress se prépare à fuir et à éviter les blessures et la mort si le mammouth s’avère trop fort. L’une ou l’autre de ces situations vous puise de l’énergie.
Voici quelques modifications qui surviennent lors de la réponse au stress, que vous fassiez face à un mammouth ou que vous soyez dans la file d’attente à l’épicerie :
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Le système cardiovasculaire pompe.
Vos battements cardiaques augmentent et pompent plus de sang vers vos muscles.
Vos artères se contractent pour augmenter votre pression artérielle
Vos veines se dilatent pour faciliter le flot de sang vers le cœur et l’oxygéner. -
La respiration s’approfondit.
Vos poumons, votre gorge et vos narines s’ouvrent pour laisser entrer plus d’air et accélérer votre respiration.
Votre respiration s’approfondit et laisse entrer plus d’oxygène dans votre sang. -
Les sens s’aiguisent pour vous garder alerte.
Vos pupilles se dilatent pour augmenter votre vision
Vos poils se dressent et vous rendent plus sensible au toucher.
Vous sécrétez de l’endorphine (un analgésique naturel) pour endormir la douleur en cas de blessure et vous aider à rester concentré. -
La digestion est interrompue.
Les vaisseaux sanguins de l’estomac, de l’intestin et des reins se contractent.
Votre bouche s’assèche et votre vessie et vos intestins ne fonctionnent plus normalement. -
La peau change.
Les vaisseaux sanguins sous la peau se resserrent et réduisent ainsi le risque de perdre trop de sang en cas de blessure.
Les glandes sudoripares s’activent pour vous rafraîchir en suant. -
Le système reproducteur s’arrête.
L’ovulation est interrompue et la production d’estrogènes diminue.
Les testicules réduisent leur production de testostérone.
Toute cette nouvelle énergie doit être dépensée. Chasser le mammouth permet de le faire, mais conduire sa voiture après l’épicerie jusqu’à la maison nous laisse avec un surcroît d’énergie. Aujourd’hui, le plus souvent, nous relâchons cette énergie mobilisée sous forme de colère, une malencontreuse conséquence du stress.
Le véritable stress s’exprime sous la forme de battements cardiaques, de mains moites, d’envie de rugir et de bondir, et d’hyper-vigilance. Ces signes sont le résultat de votre corps qui répond au stress et qui mobilise l’énergie.
Qui ?
Notre corps répond au stress en sécrétant des hormones du stress. Ces hormones sont sécrétées pour aider le corps à réagir lors de situations stressantes.
La première hormone sécrétée est l’adrénaline, l’hormone guerrière. En quelques secondes seulement, l’adrénaline agit et stimule les battements cardiaques, la respiration et la circulation sanguine vers les muscles.
Vient ensuite, le cortisol, l’hormone espionne. Cette hormone envahit l’organisme après quelques minutes (environ 10 minutes) pour aider l’adrénaline à maintenir un niveau d’énergie suffisamment élevé. Le cortisol convertit les gras en sucre, le carburant de notre corps.
Mais les hormones du stress en font encore bien plus !
Le cortisol est un anti-inflammatoire naturel. Lorsque nous sommes blessés, le système immunitaire attaque les infections et assure la guérison via la « réponse immunitaire ». Ceci demande énormément d’énergie, et pour faire face adéquatement au stress, notre système immunitaire se désactive partiellement.
Le cortisol agit aussi sur la mémoire et l’apprentissage pour qu’on se souvienne des détails qui assurent notre survie.
Ex.: Quand on blesse un mammouth au-dessus du genou, il trébuche et il est plus facile de l’achever. En retenant cela, les prochaines chasses seront plus efficaces, moins dangereuses et assureront la survie du clan.
Le cortisol aide aussi notre corps à rétablir l’équilibre ou l’homéostasie après le retour à une situation normale. Le cortisol indique à notre cerveau que l’énergie a été dépensée et que nous devons nous ressourcer. Le cortisol envoit alors un signal de faim pour reconstituer l’équilibre énergétique.
Identification de son stress
Étape 1 : auto-évaluer votre stress
Il n’est pas toujours aisé d’évaluer son stress car il est parfois insidieux. Il peut être bien présent dans nos vies sans que nous l’ayons réellement identifié ; « stressé(e) moi ? Bien sûr que non ! ».
Afin d’identifier votre niveau de stress, nous vous proposons de répondre à une série de questions. Elles vous aideront à estimer votre état de stress, explorer vos réactions physiologiques face au stress, ainsi qu’à augmenter vos compétences pour y faire face. Une belle matière à réflexion en somme.
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Estimez-vous que vous sachiez facilement repérer l’état de détente, de tension ou de crispation de vos mâchoires ?
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Avez-vous l’habitude de repérer l’état de tension ou de détente de vos épaules ou de votre nuque
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Pensez-vous être attentif au fonctionnement habituel de votre système digestif (estomac, intestins, foie)
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Êtes-vous souvent conscient de votre rythme respiratoire ?
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Êtes-vous facilement conscient de l’amplitude de votre respiration ?
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Êtes-vous sensible à la qualité ainsi qu’à la quantité de votre sommeil ?
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Prenez-vous régulièrement le temps de vous occuper du bon état de votre corps ?
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Avez-vous facilement conscience de votre tonus corporel et de ses variations ?
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Avez-vous facilement conscience des variations dans vos habitudes alimentaires, augmentation ou diminution de l’appétit, appétence pour le sucré, fringales soudaines ?
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Vous est-il facile de repérer et de déchiffrer les multiples signaux d’alerte que votre corps vous transmet ?
Vos réponses devraient vous éclairer sur votre niveau de stress et sa répercussion physiologique. N’hésitez pas à vous poser ces questions régulièrement et à vous observer. Le corps sait parler et vous transmettre des messages.
Étape 2 : comprendre le mécanisme du stress
Le stress est une réaction d’adaptation tout à fait normale. Il intervient face à une situation inattendue ou inhabituelle : examen, échéance professionnelle, problème familial… Si ce stress n’est pas perceptible tout au long de la journée et ne s’installe pas plus de quelques jours consécutifs, il n’y a pas matière à s’inquiéter à condition qu’il vous paraisse surmontable. D’après l’Agence Européenne pour la Sécurité et la Santé au travail, « le stress survient lorsqu’il y a un déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face ».
Le stress devient néfaste lorsqu’il entraine ce que l’on appelle communément des « troubles de l’adaptation ». Nous nous adaptons comme nous pouvons au stress : anxiété, peur, appréhension, inquiétude, angoisse, fatigue, sueurs, maux de ventre, palpitations, concentration altérée, mémoire chancelante, troubles du sommeil, insomnies, douleurs dans le dos, tressautement des paupières, prise de poids, troubles cutanés… Le stress si il est prolongé peut également conduire à des états dépressifs qui se caractérisent par une perte de motivation, de désir ou encore d’entrain.
Le mécanisme du stress est composé de 3 phases :
Phase d’alarme : l’organisme répond en urgence au stresseur
L’organisme répond en urgence au stresseur. Le corps est confronté à une phase de choc généré par un agent stressant. Il va tout mettre en œuvre pour retrouver au plus vite son équilibre.
Au niveau physiologique, le système nerveux va sécréter de l’adrénaline et de la noradrénaline. Le magnésium présent dans les cellules va également être mis à contribution pour faciliter l’influx nerveux, l’énergie et les contractions musculaires.
Phase de résistance : l’organisme s’adapte
Il s’agit de s’adapter pour tenir dans le temps. Le cortisol, souvent décrit comme l’hormone du stress, va alors faire son entrée dans le but de produire des sources d’énergie. D’autres hormones et neurotransmetteurs vont également être mis à contribution : la dopamine (motivation et bonne humeur), la sérotonine (calme, contrôle de soi, prise de recul) et le monoxyde d’azote (mémorisation). Le magnésium va également continuer à être utilisé par le corps engendrant un amenuisement des réserves (excitabilité et fatigue nerveuse).
Phase d’épuisement : l’organisme s’épuise à cause d’un stress chronique
A force de subir le stress, le corps épuise ses réserves de magnésium, de dopamine, de sérotonine ou encore d’adrénaline. La production de cortisol peut être très sollicitée puis drastiquement décliner car les glandes surrénales qui le produisent sont à bout de force (peut conduire au burnout). Des effets négatifs peuvent alors se faire sentir sur l’organisme comme un déficit immunitaire, un déséquilibre thyroïdien, du diabète, des troubles dépressifs, une baisse de libido, des troubles du cycle menstruel…
Étape 3 : ne plus subir son stress
Notre vulnérabilité au stress est singulière car nous avons tous des corps et des histoires de vies différentes. Ainsi, un même évènement peut passer inaperçu pour un individu alors qu’il constituera un facteur de stress très intense pour un autre.
À chacun son stress donc, inutile de se comparer et de se blâmer. Acceptez, observez et donnez-vous l’opportunité de prendre en main votre vie afin de gérer au mieux votre état de stress !
Il existe une multitude de possibilités qui vous permettront d’appréhender votre stress et de lui dire stop. À vous de les tester et de voir lesquels s’adaptent le mieux à votre personnalité et à votre quotidien. Vous pourrez ainsi vous confectionner une boite à outils qui vous correspond.
Voici une liste non exhaustive des pistes que nous vous suggérons d’explorer :
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Se donner un coup de boost avec des compléments alimentaires anti-stress naturels pour favoriser votre sérénité et le retour d’une énergie positive. En plus d’aider votre organisme, vous vous donnez chaque jour un rendez-vous pour prendre soin de vous.
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Prendre soin de son alimentation qui est un levier incontournable de la gestion du stress. Astuces :
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Consommez des aliments riches en magnésium tout en respectant les modes de cuisson et leur biodisponibilité afin de maximiser l’absorption par l’organisme ;
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Réduisez le nombre de cafés à 2 par jour car il participe à la fuite des minéraux comme le magnésium ;
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Supprimez ou diminuez drastiquement votre consommation d’alcool qui entraine une perte urinaire du magnésium et perturbe le métabolisme des vitamines du groupe B qui ont un effet positif sur le stress ;
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Préférez les cuissons vapeurs et le cru pour préserver la teneur en vitamines et minéraux des aliments ;
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Évitez les aliments « blanc » et donc ultra raffinés ainsi que les aliments à base de sucre ;
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Faites la part belle aux fruits et légumes riches en vitamines et minéraux ;
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Favorisez l’apport en oméga-3 (huiles végétales adaptées, poissons gras...).
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Apporter une grande attention à votre hygiène de vie vous apportera une grande aide dans la gestion de votre stress. Astuces :
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Évitez le tabac qui interagit de façon négative avec le métabolisme de la dopamine et l’utilisation du magnésium ;
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Prenez soin de votre sommeil et de vos cycles afin qu’ils soient réparateurs. Vos neurotransmetteurs et à vos hormones pourront alors mieux se métaboliser ;
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Soyez à l’écoute de vos émotions en les observant ou en utilisant des techniques comme la sophro-relaxation ;
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Apprenez à respirer – la respiration est d’une grande aide dans la gestion du stress. Pratiquez la respiration thoracique, abdominale, explorez la sophrologie ou encore la cohésion cardiaque ;
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Prenez du temps pour vous, pour faire ce qui vous apporte du bonheur et de la joie afin de vous ressourcer ;
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Mettez-vous en mouvement, faites bouger votre corps pour favoriser votre tonus ;
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Pratiquez une activité douce et régulière afin d’évacuer les tensions.
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Pour synthétiser, les points clés que nous vous conseillons d’explorer et d’adopter sont les suivants :
Être à l’écoute de ce que vous dit votre corps et de vos sensations physique.
Modifier votre hygiène de vie en fonction de vos besoins et de votre mode de vie.
Prendre du temps pour vous.
S’appuyer sur une aide naturelle temporaire.
La confiance en soi
Beaucoup de grands leaders disent souvent les mots « si tu veux avoir confiance en toi, il faut être sûr de toi ».
C’est tout le contraire, et dès lors que vous l’aurez compris, cela changera votre vie. La confiance en soi, c’est aller de l’avant quoi qu’il arrive, sans certitude du résultat.
Dans quel domaine est-on sûr du résultat ? Aucun, sauf dans votre zone de confort. La société nous incite à tout contrôler, que cela soit en couple, au travail, cela rassure. Le peureux par exemple attend d’être prêt, de tout maitriser avant de se lancer, donc il n’y va jamais. Il ne prend pas la parole dans une réunion et le regrette, il cherche des excuses pour aborder une personne qu’il apprécie.
La confiance c’est accepter de surmonter ses peurs et ses doutes et y aller quand même. La confiance en soi est différente de l’estime de soi. L’estime de soi est la valeur que l’on se porte, le degré d’amour que l’on a pour soi. C’est un autre sujet. Comment donner envie de vous aimer si l’on ne s’aime pas ? On peut avoir confiance en soi sans estime de soi ou inversement.
Comment avoir confiance en soi ?
1. À l’intérieur de soi
Le meilleur de soi se révèle quand on fonctionne de façon alignée avec ses valeurs, ses passions et non celles des autres. C’est là que l’on est à plein potentiel.
Il faut accepter ses doutes, accueillir ses peurs car on ne peut pas tout contrôler. Si vous réfléchissez de quoi vous inquiétez vous dans la vie ? D’être en retard ? De payer votre loyer ? Si vous lisez cet article c’est que vous vivez dans le luxe, il ne vous manque rien.
Le premier moyen est donc d’accepter d’avoir des doutes et d’arrêter de vouloir être prêt, que tout soit parfait pour passer à l’action. Faîtes vous confiance, à vous, à votre intuition qui ne vous a que très peu souvent trompée, dîtes-vous j’y vais peu importe le résultat.
Il n’y a pas d’échec, que des expériences.
2. La confiance vient des autres
Quel est le niveau de confiance d’un enfant aimé, bien entouré et félicité ? Et celui d’un enfant critiqué ? Le niveau de confiance en soi dépend aussi de son entourage.
Adulte, c’est pareil, C’est pourquoi il y a une dimension extérieure pour développer la confiance en soi. Savoir bien s’entourer, de vrais amis, qui vous veulent du bien de façon désintéressée. Vous devez fuir les personnes toxiques, et vous ouvrir aux autres, aux bienveillants. Car vous apprendrez auprès d’eux, ils vous donneront confiance avant de vous faire confiance, « je vais t’apprendre à sauter à la corde, et après tu le fais toi-même. ».
Pour savoir si les personnes que vous fréquentez sont toxiques ou bienveillants, posez-vous simplement la question. Comment je me sens quand je suis avec eux, et après les avoir vu. Si vous ne vous sentez pas bien à chaque fois, vous savez ce que vous devez faire.
3. La clarté des objectifs
Quand vous savez exactement où vous allez, je suis sûr que vous ne vous laissez pas influencer par ce qui se passe autour de vous et ce que les gens pensent. Vous vous faîtes confiance. Plus vos objectifs sont clairs, plus vite vous les atteindrez et plus votre niveau de confiance est élevé. Un objectif clair signifie précis. Si la plupart des personnes n’obtiennent pas ce qu’elles veulent, il y a deux raisons : elles ne savent pas ce qu’elles veulent. Ou,elles ne savent pas pourquoi elles le veulent. Sans objectif clair, et sans raison de l’obtenir puissante, on abandonne au premier obstacle, comme les résolutions non tenues du début d’année que l’on répète chaque année.
4. Le savoir faire – la compétence – la répétition
Quel est votre niveau de confiance en vous si je vous interroge sur un sujet que vous maitrisez parfaitement ? Élevé, très probablement.
La compétence qui bien sûr apporte de la confiance. Pour réussir un examen, un entretien, vous devez avoir de la préparation.
Pour augmenter votre niveau de compétence, investissez dans ce qui vous permet de progresser (livre, formation, s’inspirer des modèles de réussite pour vous) plutôt que dans ce que le philosophe Spinoza appelle « le plaisir », qui lui est fugace. Derrière le sentiment d’avoir appris, il y a pour Nietzsche une « augmentation de la force vitale ».
Plus vous répétez un exercice, plus vous développerez votre compétence.
5. L’action
Sans action, il y a stagnation, sans mouvement dans la mer, vous coulez. L’action en dehors de votre zone de confort, c’est-à-dire ce que vous savez déjà faire, vous permettra de développer votre confiance en vous. Plus vite vous échouez, plus vite vous apprendrez. Et le temps est compté. On attend souvent d’être motivé, inspiré pour agir.
Agissez maintenant, l’inspiration et la motivation suivront, comme l’appétit vient en mangeant.
6. La confiance en soi est fille de joie
Quel est votre niveau d’audace quand vous vous sentez bien ? Votre niveau de confiance en vous ? Tout vous semble alors possible. Au contraire quand vous vous sentez mal, fatigué, stressé, le niveau de confiance et d’audace chute.
Plus vous découvrez ce qui provoque chez vous ce sentiment de bien être (différent du bonheur), plus vous aurez confiance en vous. Pour y arriver, rappelez-vous avec précision les moments où vous vous sentiez bien, et trouvez ce que vous faisiez, qui était avec vous, en clair, le pourquoi vous vous sentiez bien.
Vos références sont vos valeurs
I) Qu’est-ce qu’une valeur : définition ?
Selon Shalom SCHWARTZ, professeur de psychologie sociale à l’Université de Jérusalem,
« les valeurs sont les convictions que nous considérons comme particulièrement importantes pour nous, celles qui constituent nos repères essentiels, qui nous servent pour effectuer nos choix les plus cruciaux et qui orientent donc pour une large part nos actions et notre comportement. Nos valeurs sont les éléments les plus stables de notre personnalité : C’est le moteur qui nous fait agir et nous donne de l’énergie pour entreprendre. C’est le socle de la confiance en soi. »
Vous comprenez donc l’importance de se questionner sur ses valeurs !
Elles sont votre carburant… C’est ce qui vous donne de la motivation dans tout ce que vous accomplissez au quotidien que se soit sur le plan professionnel que personnel. Et leur non respect entraînent de facto une démotivation, un désintérêt, un sentiment d’insatisfaction… Bref, vous nagez à contre-courant !
Par conséquent, issues de notre héritage familial, de notre personne et de notre culture, elles sont une intarissable source d’énergie. Autant dire qu’occuper un métier en phase avec ses valeurs ne peut que nous donner des ailes et nous permettre de nous réaliser pleinement professionnellement. Et ainsi éviter les conflits de valeurs… Que l’on retrouve bien souvent dans les problèmes relationnels !
Avoir connaissance de son système de valeurs, c’est permettre de créer une harmonie dans sa vie et d’avoir un cap à suivre.
II) J’identifie mes valeurs
Voici les étapes à suivre pour identifier vos valeurs.
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Posez-vous cette première question : Qu’est-ce qui est important pour moi dans la vie ?Notez ici TOUT ce qui vous passe par la tête. Les premiers mots, les premières idées sont souvent les bonnes. Ne réfléchissez pas. Écrivez ce qui vous vient à l’esprit.Lors de ce premier exercice, vous allez probablement utiliser des mots ou des termes qui ne sont pas des valeurs mais des moyens comme par exemple, « l’argent » ou « la belle voiture » ou « la grande maison ». Dans ce cas, posez-vous la question de savoir quels bénéfices vous tirer de ces moyens ? De la sécurité ? Du pouvoir ? De la liberté ? Il n’y a pas de bonnes ou de mauvais réponses. Soyez à l’écoute de vos ressentis.
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Ensuite, sur toutes les valeurs retenues, ne retenez qu’une liste de 10 maximum ! Pour se faire, hiérarchisez-les…
Tout d’abord, faites un premier tri.
Sur les valeurs retenues, éliminez celles qui vous parlent moins, qui semblent de moindre importance. Une fois ce premier tri terminé, comparez les valeurs retenues une à une. Prenez la première de votre liste et comparez la à toutes les autres en vous demandant, à l’instant T, qu’est-ce qui est le plus important pour moi entre telle et telle valeur ? Faites la même chose avec la seconde valeur de votre liste et ainsi de suite.
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